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IMAGE : Sumo

Le sumo est un sport de lutte japonais. Le combat sumo se caractérise par le gabarit des lutteurs ainsi que par les nombreux rites traditionnels qui entourent les combats. Ce sport reste très populaire au Japon, même si le baseball et le football le détrônent désormais, notamment chez les jeunes.

Le sumo fut mentionné pour la première fois en 712 dans le Kojiki, ou Récit des Temps Anciens, premier livre d'écriture japonaise. Le Kojiki relate la victoire de Takemikazuchi contre Takeminakata, deux dieux anciens lors d'un combat de sumo. C'est ainsi que le peuple mené par Takemikazuchi obtint la possession des îles japonaises et que fut fondée la famille impériale dont est issu l'actuel empereur. Le Nihon Shoki rapporte lui le combat qui aurait eu lieu lors du règne de l'empereur Suinin entre Nomi-no-Sukune et Taima-no-Kuehaya, considéré comme l'origine du sumo et du ju-jitsu. Nomi-no-Sukune est aujourd’hui considéré comme le saint patron ou kami des lutteurs de sumo, et est notamment vénéré dans un sanctuaire shinto homonyme de Ryōgoku, quartier des sumos à Tokyo.

Mis à part ces légendes, il semble que les combats sumo soient apparus il y a près de 1.500 ans, sous forme de rituels religieux shinto: des combats sumo ainsi que des danses et du théâtre étaient dédiés aux dieux (kami) en même temps que des prières pour obtenir de bonnes récoltes.

D'autres anciennes luttes asiatiques telles que la lutte mongole, le shuai jiao chinois et le ssirum coréen auraient également pu avoir une influence.

Les principaux tournois (honbasho) sont diffusés par le service public NHK à la radio depuis 1928 et à la télévision depuis 19538. Seul le tournoi de juin 2010 n'a pas été diffusé suite à un scandale de paris illégaux. Des tournées de promotion à l'étranger sont régulièrement organisées par l'association ou par les écuries (clubs des lutteurs): à Las Vegas en 2005, en Israël en 2006, à Hawaï en 2007 et à Los Angeles en 2008, alors que celle de 2009 à Londres est annulée faute de moyens suite à la crise économique.

Le but de chaque lutteur est d'éjecter l'adversaire hors du cercle de combat ou de lui faire toucher le sol par une autre partie du corps que la plante des pieds. L'arène est appelée dohyō: c'est une plateforme carrée faite d'argile tassée, d'une hauteur de 34 à 60 cm. Un cercle de 4,55 m de diamètre, fait à l'aide de ballots de paille ancrés dans la plateforme, délimite l'aire de combat. Outre les lutteurs, le gyōji, l'arbitre, est également sur le dohyō. Les juges, les présentateurs ainsi que les lutteurs suivants se trouvent autour de l'arène.

Les lutteurs sont d'abord appelés par le yobidashi à monter sur le dohyō. Avant l'affrontement, les lutteurs chassent les esprits en frappant le sol avec les pieds, après les avoir levés très haut: il s'agit du shiko. En signe de purification, ils prennent une poignée de sel et la lancent sur le cercle de combat: on parle alors de kiyome no shio. Il y a également le rituel de «l'eau de force» que le rikishi boit puis recrache. Ce sont les trois gestes rituels les plus importants avant le début du combat proprement dit.

Le combat débute au signal du gyōji, qui présente alors l'autre face de son éventail. Après une phase d'observation, les lutteurs doivent toucher le sol avec leurs deux mains pour accepter le combat, la confrontation physique peut alors commencer. Les deux protagonistes se lèvent et s'élancent l'un vers l'autre, action nommée tachi-ai. Le premier contact entre les deux, atari, est souvent très violent. Lorsque l'un des deux rikishi n'a pas mis les deux mains au sol alors que l'autre s'est élancé vers lui, on parle de matta, et le départ est redonné.

Les combattants peuvent utiliser les prises parmi les 82 autorisées, ces prises gagnantes sont appelées kimarite. Si le choix du vainqueur à la fin du combat n'est pas évident, les juges se réunissent sur le dohyō pour délibérer, il arrive alors que le combat soit rejoué: torinaoshi.

L'accès au dohyō est interdit aux femmes même en dehors du combat, selon une ancienne tradition shinto considérant le sang comme une souillure (kegare), et donc les femmes potentiellement impures du fait des menstruations. Le 19 septembre 2007, pour la première fois dans l'histoire du sumo professionnel, une spectatrice pose le pied dans l'arène, sans toutefois atteindre la zone de combat car stoppée par un lutteur.

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